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Avec 25 francs par mois, vous financez la formation professionnelle pratique de deux jeunes.
Avec 30 francs par mois, vous donnez à six apprenti·es le matériel pour l’ensemble de leur formation.
Avec 50 francs par mois, vous soutenez 75 jeunes dans leur recherche d’emploi.
Avec l’équivalent d’un salaire d’une heure, vous aidez les jeunes et les travailleurs et travailleuses d'Afrique de l'Ouest et d'Amérique latine à accéder à l'éducation, au travail et aux revenus grâce à nos projets.
Des jeunes issu·es de milieux précaires se forment et sont soutenu·es lors de leur intégration sur le marché du travail. Ils et elles ont ainsi plus de chance de trouver un emploi. La formation professionnelle leur donne de meilleures perspectives de vie et renforce leurs compétences sociales.
Les travailleurs et les travailleuses exposé·es à l’exploitation – par exemple dans l’industrie textile – obtiennent des salaires équitables et des conditions de travail dignes. Vos dons les aident à s’organiser et à s’engager ensemble pour que leurs droits du travail soient respectés et qu’ils puissent gagner un salaire décent.
Les travailleurs et les travailleuses reçoivent des salaires équitables et des prix raisonnables pour leurs produits et services. Les petits producteurs et les petites productrices en Afrique de l'Ouest améliorent leurs revenus et contribuent à assurer l’alimentation de nombreuses familles.
L'action «une heure de salaire» 2025 est dédiée au projet Derechos Laborales au Salvador. Nous aidons ainsi les ouvrières du textile à revendiquer leurs droits. En effet, les conditions de travail dans les usines textiles d'Amérique centrale sont souvent catastrophiques, les abus vont du non-paiement des salaires aux avortements forcés.
L’idée du projet Derechos Laborales, que l’on peut traduire par « droits du travail », est en fait simple : il s’agit de donner aux ouvriers et ouvrières du secteur textile qui ont été lésé·es un accès à la justice. Brücke Le Pont travaille ici en collaboration avec l’ONG locale Ormusa, spécialisée dans les droits des femmes, et le ministère public salvadorien. Ce sont surtout des femmes qui travaillent dans les usines textiles. Et dans les « maquilas », les conditions de travail sont souvent terribles : contrats de travail précaires, heures supplémentaires et salaires non payés, absence de prestations sociales, problèmes de santé chroniques, harcèlement sexuel, licenciements en cas de grossesse ou obligation d’avorter etc.
Avec ses partenaires locaux, Brücke Le Pont a créé un poste au sein du parquet général pour aider les personnes à obtenir justice. Plusieurs hussiers·ères s’engagent déjà pour que les travailleurs·ses puissent faire valoir leurs droits. Mais cette structure ne s’est pas créée du jour au lendemain : Brücke Le Pont a initié le projet en 2011. Le projet, qui a un budget annuel d’environ 70’000 francs, a permis des remboursements de plus de 9 millions de francs aux travailleurs·euses entre 2018 et 2023.
Après
la formation, les participant·es au projet continuent à s’engager pour
un développement durable dans leur région. Vous en apprendrez davantage à
ce sujet dans la description du projet (pdf).
Merci pour votre soutien à travers l'action «une heure de salaire»!
